Deux hauts dirigeants de Coinsquare ont été invités à se retirer de leurs fonctions au sein de l'entreprise, à la suite d'une récente affaire avec la Commission des valeurs mobilières de l'Ontario (CVMO). Il y a quelques jours, la société numérique canadienne a été accusée par le régulateur d'avoir manipulé son volume de transactions au cours des dernières années.
Les dirigeants de Coinsquare démissionnent en tant qu'accord de règlement avec OSC
Comme BNN Bloomberg a rapporté mercredi, les deux principaux dirigeants de Coinsquare, à savoir Cole Diamond et Virgile Rostand, se retireront de leurs postes au sein de la de trading crypto . Respectivement, ils sont PDG et président dent .
La décision fait partie de l'accord de règlement conclu par le régulateur canadien mardi. De plus, les dirigeants de Coinsquare doivent payer une amende de près de 2 millions de dollars pour l'enquête de la CVMO. Précisément, Diamond a été condamné à une amende de 1 million de dollars, tandis que Rostand a été condamné à une amende de 900 000 dollars, selon le rapport.
OSC accuse Coinsquaire de gonfler ses volumes de transactions
L'évolution d'aujourd'hui steem de la récente accusation du régulateur canadien sur Coinsquare. Le régulateur a affirmé que la société commerciale s'était livrée à certaines manipulations de marché. OSC a fait valoir que la société avait gonflé environ 90% de ses volumes de transactions avec de fausses transactions. Cela s'est passé de juillet 2018 à fin 2019.
Un porte-parole de la société de crypto-monnaie a noté dans le rapport :
La société [Coinsquare] a agi sur la base de conseils juridiques erronés, mais la société a donné la priorité aux clients, aux employés et aux actionnaires, et l'augmentation du volume n'a pas eu d'impact sur les prix des crypto-monnaies.
Pendant ce temps, la décision de licencier les dirigeants de Coinsqure de leur poste dans le cadre du règlement est une étape importante, comme l'a indiqué le directeur de l'application de la loi à la CVMO, Jeff Keho. Selon Keho, l'accord de règlement marquera la première fois qu'une entreprise sera sanctionnée en vertu des lois de 2016, sauf représailles contre un lanceur d'alerte.