Les autorités canadiennes ont annoncé qu'elles introduisaient une nouvelle loi financière qui impliquerait les fournisseurs de services de cryptomonnaie. Il en est ainsi parce que cela est lié aux règlements budgétaires fédéraux adoptés en 2024 et qu'il s'agit d'un reporting élaboré.
Parmi les principales règles destinées à prévenir le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme figurent la divulgation annuelle obligatoire des valeurs et des détails des transactions ainsi que la divulgation des informations sur les clients. Ces règles, qui devraient être mises en œuvre en 2026, s’appliqueront à vous en tant que fournisseur de services, où que vous soyez dans le pays. Cela inclut les agences, les commerçants et les opérateurs de guichets cryptographiques.
Les régulateurs canadiens ont l’intention d’utiliser le Crypto-Asset Reporting Framework (CARF) dès qu’il sera disponible. En juin 2022, l’OCDE a également signé la charte en 15 points. Il prévoit de se concentrer sur la libre circulation des données concernant les affaires de cryptographie. Ce projet est mené en soutien à une instruction du G20 d'avril dernier. En outre, il a exhorté l'OCDE à concevoir un mécanisme visant à restaurer la transparence du système financier.
Le Canada alloue 51,6 millions de dollars canadiens à l'ARC
Le gouvernement canadien a promis un budget de 51,6 millions de dollars canadiens à l'ARC. Sur les cinq années commençant au cours de l’exercice 2024-25, les fonds couvriront ce poste budgétaire. Les blogs ont reçu des commandes pour 5,2 millions de dollars supplémentaires, qui ont été pris en charge les années suivantes. Ce programme de financement contribuera au lancement du nouvel outil de reporting statistique.
Selon lui, de telles transactions seront soumises à la législation. Ils consistent en des opérations telles que l’échange de paires entre monnaie fiduciaire et crypto-monnaie, ainsi que des échanges de paires de différents actifs cryptographiques. De plus, le jeu couvre également les transferts d’actifs cryptographiques. D’un autre côté, ils seront traités différemment des autres criminels, qui perdront leur accès à cash et à d’autres fonds trac . Par conséquent, ils feront à l’avenir partie d’une juridiction élargie couverte par le mécanisme commun de reporting de l’OCDE.
Détails de conformité et d’application
Ces sociétés de cryptographie devront fournir des informations très détaillées sur leurs clients. Les banques obtiennent les noms complets, dent et les dates de naissance. Outre les adresses locales et le CNS, certaines autres juridictions sont également incluses. L'ARC sous-tendra ces normes de déclaration sur les résidences des Canadiens et des non - dent .
Comme prévu, le premier échange de matériaux déclarés aura lieu en 2027. Les entreprises sont donc prévoyantes dans ce cas et peuvent ajuster leurs systèmes et processus à temps pour se conformer. L’objectif de la réglementation est de maintenir un environnement fiable pour les transactions cryptographiques. Les crypto-monnaies financent non seulement les délits fiscaux et le blanchiment d’argent, mais sont également, comme le catégorise Interpol, dédiées à la sûreté et à la sécurité du monde.
Par coïncidence, l'organisme canadien de réglementation des valeurs mobilières a également fait des propositions en janvier. Cette partie couvre les référentiels d’investissement traditionnels qui détiennent une participation dans des actifs cryptographiques. Les propositions interdisent aux quants et aux détaillants de négocier des avoirs cryptographiques à moins que ces fonds ne satisfassent aux exigences réglementaires spécifiées. De plus, les fonds publics, avec ce type de règle, ne sont pas autorisés à acheter ou à posséder des NFT. Un autre facteur limitant la capacité des investisseurs à acheter de tels produits est la compatibilité des risques avec les produits d'investissement destinés aux investisseurs particuliers.