Au milieu des rues animées de Londres et du rythme incessant de l'innovation, les récentes allusions du gouvernement ont suscité un mélange d'anticipation et de scepticisme dans les couloirs financiers. Nous entendons des rapports selon lesquels le Royaume-Uni se prépare à publier une législation complète qui transformera l' blockchain au cours du prochain semestre.
Les prochains Règlements Crypto et Stablecoin 2024 visent à démystifier les complexités entourant les pièces stables et les services de jalonnement, jetant un rayon de clarté sur la scène financière numérique du Royaume-Uni. Dans une ville qui ne dort jamais sur l'innovation, le secrétaire économique au Trésor, Bim Afolami, a pris le relais en annonçant l'intention du gouvernement de faire adopter la nouvelle législation avant que le rideau ne tombe sur les élections générales de cette année. L'engagement d'Afolami, livré avec un mélange d'urgence et d'ambiguïté, a ouvert la voie à un compte à rebours intrigant vers une action législative. Pourtant, sa réticence à entrer dans les détails laisse planer un nuage de mystère sur les contours exacts des réglementations imminentes.
Alors que le Royaume-Uni avance prudemment sur la voie de devenir un centre mondial de cryptographie, le voyage a été tout sauf fluide. Malgré la vision ambitieuse du Premier ministre Rishi Sunak, le chemin vers une clarté réglementaire a été semé d'embûches et les progrès sont lents. L'écho de l'engagement de Sunak de transformer le Royaume-Uni en un paradis pour les sociétés de cryptographie, où l'innovation, l'investissement et l'intensification des opérations peuvent prospérer, semble s'estomper dans un contexte de stagnation législative. Cependant, une lueur de progrès est apparue lorsque la Commission juridique du Royaume-Uni a proposé un changement révolutionnaire dans les lois nationales pour mieux prendre en compte les actifs numériques.
Pourtant, alors que le pays se prépare aux prochaines élections générales, les vents politiques pourraient influencer l'avenir de la réglementation de la cryptographie, le Parti travailliste étant actuellement en tête des sondages et perçu comme moins favorable à la cryptographie, tandis que le Parti conservateur semble chercher à tirer parti de cela. question de regagner du terrain. Quoi qu’il en soit, alors qu’Afolami s’est prudemment abstenu de fixer un calendrier defi pour une réglementation plus large de la cryptographie, le sentiment de « trop de choses à faire » résonne, reflétant la tâche ardue d’équilibrer l’innovation avec la surveillance réglementaire.