Malheureusement pour Bitcoin et de crypto, le nouveau InnfiRat cible les portefeuilles crypto et vole les informations de portefeuille en quelques secondes.
Les logiciels malveillants ciblant les crypto-monnaies sont devenus de plus en plus populaires parmi les pirates, car de plus en plus de personnes ont commencé à investir dans différents jetons. Les principales cibles de ces logiciels malveillants sont les propriétaires de quantités importantes de Bitcoin ou d'autres crypto-monnaies populaires.
Comment fonctionne le malware InnfiRat ?
La façon dont le nouveau malware InnfiRAT fonctionne est qu'il cible les données précieuses du portefeuille crypto, y compris diverses adresses de portefeuille.
Le logiciel malveillant est un virus télécommandé de type cheval de Troie, qui s'infiltre dans le logiciel du portefeuille ou l'appareil et commence à collecter des informations sensibles.
La partie la plus dangereuse du logiciel malveillant InnfiRAT est qu'il comprend une stratégie de sortie, ou porte dérobée, qui permet aux pirates d'accéder à distance aux portefeuilles infectés. Cela donne également aux pirates la possibilité de revenir aux portefeuilles déjà consultés.
D'autres préoccupations concernant InnfiRAT incluent le fait qu'il peut se propager rapidement à d'autres appareils connectés au réseau.
Protection contre les logiciels malveillants
L'InnfiRAT se propage généralement par le biais d'attaques par e-mail malveillantes, ce qui signifie que les détenteurs de portefeuilles de crypto-monnaie doivent être extrêmement prudents lorsqu'ils ouvrent une correspondance en ligne.
Les sites Web liés à la crypto-monnaie sont un autre terrain de diffusion pour les logiciels malveillants, qui gagnent en popularité avec les hausses de prix Bitcoin a connues ces derniers temps.
Le conseil essentiel pour les détenteurs de portefeuille est d'être extrêmement vigilant quant à leurs activités en ligne, car InnfiRAT est un logiciel malveillant qui se propage très facilement. Les utilisateurs doivent rester critiques vis-à-vis des sites Web et des e-mails qu'ils ouvrent, car ce sont des terrains fertiles pour les logiciels de piratage.