L'action agressive du gouvernement turc a prouvé pourquoi Bitcoin est nécessaire à la liberté financière. Le gouvernement turc a gelé plus de trois millions (3 millions) de comptes bancaires. Aujourd'hui, des millions de citoyens ont été surpris de voir un avis de saisie électronique tron leurs comptes bancaires.
Cette décision a été un grand choc pour les citoyens, en particulier après qu'un responsable gouvernemental ait fait allusion à l'aide aux personnes qui devaient de l'argent au gouvernement. Le ministre du Trésor et des Finances du pays, Berat Albayrak, a laissé entendre que le gouvernement aiderait les gens à rembourser leur dette publique.
Cependant, la nouvelle politique économique annoncée lundi ne prévoyait aucune restructuration de la dette. Dans une publication d'information locale, l'expert fiscal Nedim Türkmen a estimé qu'environ 2,5 millions de comptes avaient été saisis car ils devaient de l'argent au gouvernement. Pendant ce temps, huit cent mille comptes ont été gelés en raison de dettes impayées de la sécurité sociale.
L'action a été prise uniquement contre les entités qui doivent plus qu'un seuil donné. Les comptes bancaires ont été gelés dans toutes les banques opérant en Turquie. De plus, les comptes ont été gelés au moment le plus critique possible. Le gel des comptes en début de mois signifie que les salaires des entreprises concernées ont également été perturbés. Türkmen a déclaré que de telles politiques ont un très mauvais effet sur le secteur privé.
Pourquoi Bitcoin ?
Ces types de réglementations financières strictes rappellent au monde pourquoi les crypto-monnaies telles que Bitcoin existent . Les actifs sans autorisation comme Bitcoin n'ont pas d'autorité centrale qui peut geler les comptes aussi facilement que cela.
Cette qualité donne aux utilisateurs de Bitcoin beaucoup plus de liberté financière par rapport aux personnes utilisant des comptes bancaires conventionnels. De plus, c'est l'un des arguments de vente de Bitcoin et d'autres crypto-monnaies, car l'idée attire les gens.
