Celsius, une entreprise de cryptographie en difficulté, a licencié 150 employés. Selon les derniers rapports, cela représente un quart de son effectif. Selon le rapport de CalCalistech.com, les personnes licenciées comprennent des personnes vivant en Israël, où l'entreprise est présente. L'entreprise, qui a des bureaux en Israël et aux États-Unis, n'a ni confirmé ni démenti cela. Les 150 travailleurs licenciés représentent 25 % des effectifs de l'entreprise.
Celsius Network aurait licencié 150 employés
Le 13 juin, la plateforme de Celsius a gelé les retraits en raison de problèmes de liquidité. Plusieurs autres sociétés de crypto-monnaie ont emboîté le pas depuis lors, la majorité d'entre elles ayant des liens avec Celsius. L'annonce intervient deux jours après que le prêteur crypto a annoncé qu'il s'efforçait de stabiliser la liquidité et les opérations. Selon Calcalist, la firme n'a pas répondu aux demandes de commentaires.
L'entité a déclaré :
Nous continuons à prendre des mesures importantes pour préserver et protéger les actifs et explorer les options qui s'offrent à nous. Ces options comprennent la poursuite de transactions stratégiques ainsi qu'une restructuration de nos passifs, entre autres avenues.
Réseau Celsius
Celsius Network aurait licencié une douzaine d'employés au cours du week-end, près de deux semaines après avoir embauché des conseillers en restructuration du cabinet d'avocats Akin Gump Strauss Hauer & Feld LLP. La décision a été conçue pour aider Celsius Network à explorer des solutions possibles à ses difficultés financières actuelles.
De plus, l'équipe de Celsius Network a présenté trois propositions pour reconstruire la plateforme de prêt début juin. The Future Capital a rapporté qu'ils avaient été "engagés par Celsius pour administrer la partie communautaire de leur cycle de financement de série" B "de 750 millions de dollars".
Selon l'équipe de Bnk To The Future Capital, qui détient 5% des actions de Celsius Network, une communauté est nécessaire pour trouver des solutions permanentes pour la plateforme de prêt. En conséquence, les trois idées suivantes ont été avancées :
La création d'une nouvelle plate-forme, la mise en œuvre d'une mise à niveau du système et la récupération des actifs. Cela permettra aux déposants de profiter de toute relance via l'ingénierie financière. Deuxièmement, les baleines Bitcoin les plus importantes ont accepté de créer un pool qui co-investirait avec les membres de la communauté. Ceci est comparable à la façon dont Bitfinex a récupéré après le piratage de 2016. Enfin, un plan réalisable pour créer une nouvelle entreprise et du personnel qui pourrait reconstruire et rendre l'argent aux déposants.
Le manque de nouvelles informations de la part du prêteur a fait chuter la confiance des déposants. Selon un récent article du Wall Street Journal, bon nombre de ces investisseurs ont placé leurs économies en degrés Celsius.
Il n'y a eu aucune mise à jour de Celsius depuis trois semaines, et de nombreuses personnes craignent de ne jamais pouvoir récupérer leurs fonds. La société a engagé des consultants en insolvabilité Alvarez & Marsal depuis qu'elle a interrompu les retraits. Il a également choisi Citigroup comme conseiller financier.
Cependant, cela ne s'est pas encore traduit par une action réelle. Selon des informations, plusieurs entreprises envisagent d'acquérir ses actifs, notamment en concurrence pour NEXO et la principale institution financière Goldman Sachs. À cette fin, Goldman Sachs a levé 2 milliards de dollars de financement.
Selon des informations, l'échange de crypto FTX était en pourparlers avec Celsius au sujet d'une aide financière. Cependant, après avoir constaté un déficit de 2 milliards de dollars dans les finances de Celsius, FTX a retiré son offre defi Bien que la société n'ait fait aucune annonce, certains investisseurs semblent se lasser.
Les temps difficiles dans la crypto s'intensifient
L'industrie de la cryptographie est confrontée à des problèmes qui n'ont jamais été vus auparavant. L'un des problèmes entourant l'introduction en bourse est qu'il s'agit d'un nouveau concept pour de nombreuses personnes. Les entreprises publiques sont souvent mal comprises, en particulier parmi les investisseurs en bitcoin et en crypto-monnaies. Ce n'est pas particulièrement surprenant. Le tout est conçu pour paraître complexe et déroutant afin que les banquiers d'investissement, les avocats et les initiés de Wall Street se sentent intelligents.
Les régulateurs ont cependant choisi de ne pas se laisser trac par ces difficultés. Ils ont choisi de réglementer le marché de la cryptographie de la même manière qu'ils le feraient pour une entreprise conventionnelle.
Le pilier réglementaire du partenariat d'innovation financière américano-britannique était hébergé par le Trésor de Sa Majesté avec le département du Trésor américain. Les deux gouvernements ont reconnu la nécessité de collaborer pour promouvoir l'innovation sécurisée et améliorer les résultats réglementaires pour les actifs numériques dans toutes les juridictions.
Selon la déclaration commune, les principaux organismes de surveillance nationaux tels que la SEC, la CFTC, le personnel de la Banque d'Angleterre et la Financial Conduct Authority ont tous participé à une réunion. Le panel a discuté des développements récents avec les stablecoins et les CBDC. Le document notait que cette réunion était une base pour les dialogues futurs.
Parmi tous les réglementaires entourant l'espace, le rôle clé continu des stablecoins et des plates-formes d'échange et de prêt d'actifs cryptographiques dans les écosystèmes d'actifs numériques - comme l'ont démontré les récentes turbulences de la chute de Terra et de Celsius - a suscité des inquiétudes parmi les organismes de surveillance du monde entier.
Selon le communiqué, le G7 et le G20 ont également abordé la réglementation cryptographique. Les deux pays se sont engagés à discuter d'une "coopération réglementaire transfrontalière robuste" lors de futures réunions qui se concentreront sur la fourniture d'un cadre réglementaire clair pour les échanges de pièces stables et de crypto-monnaie.
